Devant le Conseil de Sécurité des Nations-Unies, Jean Victor Généus retourne à son vomi !

Paris, France, 10/18/2022 – Fort heureusement, le ridicule ne tue pas en Haïti. Le paradoxe, c’est qu’on a honte seulement lorsqu’on en a envie. Bref, le déshonneur devient une option dans ce pays, comme si on était dans la téléphonie !
Pour l’instant, Jean Victor Généus n’a pas jugé nécessaire d’avoir honte, mais le moment viendra à coup sûr, on verra bien. Aujourd’hui, il est confortable dans ses dérives diplomatiques, dans sa folie vassale. D’autant plus qu’il est une honte nationale, frappé d’indignité républicaine. Ô combien inconscient il est, cet homme !
Grâce à la technologie, le monde est devenu un village où tout le monde connaît tout le monde, y compris le sacré menteur de Jean Victor Généus. Lequel ministre haïtien des affaires étrangères qui fait preuve d’une platitude et d’une bassesse rare dans sa fonction. On dirait même un petit vendu et cela, sans exagération aucune de notre part.
Des voix s’élèvent pour implorer du pardon à Victor Généus, car il ne sait pas ce qu’il fait et dit, probablement dû à l’usure du temps. Toutefois, son état est préoccupant, c’est le moins qu’on puisse dire. On lui conseillerait de prendre la même route que le docteur Alex Larsen. Ils souffrent de la même maladie, la sénilité. En somme, Jean Victor Généus ferait bien de voir un neuropsychiatre, quant à Alex Larsen, il se serait déjà en France pour se soigner d’un grave déficit, d’une carence en personnalité. Bref, les deux sont malades…le gouvernement d’Ariel Henry est pitoyablement souffreteux !
En tout cas, le lundi 17 octobre 2022, le jour même que des dizaines de patriotes haïtiens commémoraient le champion de la liberté et de l’autodétermination, à New York même, en l’occurrence, Jean Jacques Dessalines. Ce même éhonté de Jean Victor Généus, était devant le « Conseil de Sécurité des Nations-Unies » pour exiger l’envoi de troupes militaires en Haïti. À rappeler, qu’il avait laissé entendre le mois dernier, au même endroit et devant les mêmes délégués internationaux, que tout allait parfaitement bien. Cette semaine, sans aucun embarras, il est revenu vomir pour décrire le chaos qui y règne. Et que seule une intervention internationale peut maintenir son équipe au pouvoir dans le pays. Quelle vilénie !
Ce que monsieur Victor Généus doit savoir, « On peut mentir pendant un jour, des mois, des années,10 ans,50 ans,70 ans voire plus, mais on ne pourra jamais le faire tout le temps. On finira, tôt ou tard, par se faire découvrir ». Le voilà découvert, Monsieur Victor, devant le monde entier !

L’intervention américano-onusienne reste une option qui est toujours à l’ordre du jour. Puisque le « Conseil de Sécurité », réuni le lundi 17 octobre 2022, ne parvenait pas à finaliser le document officiel ouvrant la voie au déploiement d’une force multinationale en Haïti. Le conseil veut se donner du temps au temps, surtout après les pertinentes remarques de la Chine et de la Russie sur la réalité haïtienne. Il faut ajouter que ces deux pays sont membres du conseil permanent de l’ONU et sont dotés du droit de veto. Ils sont tous deux, publiquement en profond désaccord avec les Etats-Unis sur plusieurs accrocs internationaux, notamment la guerre en Ukraine !
La Chine et la Russie faisaient valoir que toute décision d’envoyer des troupes internationales en Haïti va conforter le maintien du premier ministre de facto, Ariel Henry, au pouvoir dans le pays. Tout en soulignant que ce régime est rejeté par la population haïtienne dans sa grande majorité, via de fréquentes manifestations sur toute l’étendue du territoire national. Toutefois, le « Conseil de Sécurité » se réunira encore sur la possibilité d’intervenir en Haïti sous le fallacieux prétexte d’humanitaire et de sécuritaire.
De toute manière, Ariel Henry doit prendre son mal en patience. L’intervention militaire en Haïti n’est pas pour tout de suite, surtout lorsque l’appel vient d’un premier ministre de facto qui n’a pas la légitimité requise pour engager la nation dans des aventures aussi risquées.
Dossier à suivre…
Michaud Joanier, Journaliste