DUBAÏ : une mer, une plage dans un désert
Boukan News, 04/20/2024 – En effet, cette semaine Dubaï est au centre des débats entre météorologues et climatologues afin de percer les causes de toutes ces pluies qui transforment les Émirats Arabes Unis en une plage à ciel ouvert, pourtant située en plein désert !
En tout cas, sur le banc des accusés, se trouve un suspect : L’Ensemencement des Nuages. Mais que faut-il entendre par le phénomène de l’ensemencement des Nuages ? C’est une pratique agricole consistant à agir sur l’atmosphère pour faire tomber la pluie. Et DUBAÏ, du fait de sa position géographique en plein désert, en recourt souvent à cette pratique !
L’Ensemencement des Nuages est-il vraiment responsable des dégâts apocalyptiques qu’a connu DUBAÏ, cette semaine ?
Les avis sont partagés entre ceux qui pensent que la nature a révolté du fait de tous ces emmerdements, alors que d’autres pensent que les pluies torrentielles qui s’abattent sur DUBAÏ sont les résultats des dérèglements climatiques ?
Qui dit vrai ? Qui dit faux ?
Toutefois, nous sommes face à un constat et un résultat. Quelque chose s’est produit. Il est tombé à DUBAÏ l’équivalent de 2 ans de pluies en quelques heures, un rarissime phénomène qui inquiète plus d’un !
La communauté des scientifiques, si elle n’arrive pas vraiment à déceler les causes, invite toutefois à une responsabilité mondiale, si l’on veut sauver la planète !
Parmi les avocats de L’Ensemencement des Nuages figure le Météorologue privé Ryan Maue, ancien adjoint scientifique de la « National Oceanic and Atmosphere Administration » des États-Unis. Pour lui, « l’Ensemencement des Nuages n’est pas du tout responsable. Autrement, il y aurait de l’eau en permanence. On ne peut pas créer 15 centimètres de pluie à partir de rien ».
Il est à faire remarquer que ce phénomène a tendance à s’étendre sur le continent africain aussi. Les pays, tels que : le Pakistan, le Japon, les Philippines ne sont pas épargnés non plus mais pas avec la même fréquence de pluie déversée sur DUBAÏ !
Tout de même, si la tendance ne s’inverse pas, ou pourra dans les années à venir, dire différemment : Qu’on va à Dubaï ou à la Plage !
Joanier Michaud